aimy zoey stewart : CO-ADMINISTRATRICE

« C’est légèrement difficile parler de moi-même. Je pourrais vous dire ma couleur préféré, mais vous parler de mon caractère sera un peu compliqué. Je sais que je suis loin d’être parfaite, malgré le fait que je sois mannequin, derrière cette allure de femme complètement parfaite se cache tout plein de défaut. En fait, ce que je pourrais vous dire à propos de moi et mon caractère, c’est ce que les gens m’ont dit.
Premièrement, on dit de moi que je suis une personne gentille et toujours là pour les autres. Je crois que c’est vrai, puisque vu mon expérience, je sais ce que cela fait être rejeter, seule sans personne à ses côtés, je veux éviter que les gens ressente la même chose que moi à l’époque. Sinon il y a quoi d’autre qu’on dit à mon propos ? Alors apparemment je serais généreuse… Je dois alors avoué que sur certains point, j’aime bien partagé, essayer d’être le moins égoïste possible et tout ces trucs. Je suis aussi assez compréhensive, il faut dire qu’un monde sans personne compréhensibles serait assez… Bizarre! Ah oui, je suis aussi… Sympathique, enfin ça dépend avec qui, et c’est ce qui fait qu’on enchaîne sur les défauts. En fait ce qui fait que je ne suis pas sympa avec tout le monde est la méfiance. Ayant vécu dans un monde ou derrière un compliment se cachait une bonne occasion de se moquer, je n’eus pas vraiment le choix d’ « adopter » la méfiance. Derrière cette jolie mannequin de dix-huit ans, il y a aussi une personne très timide, qui a peur d’aller vers les gens, mais lorsque je suis sur le podium tout disparaît comme par magie. Mais pas question de me mettre devant quelqu’un que je ne connais pas et attendre que je parle, vous attendriez des heures. J’ai perdu mon côté social étant assez jeune, et avec se côté méfiant ce n’est pas génial. Je dois vous avouer également que je suis quelqu’un d’assez sarcastique. Je ne prend pas les choses assez au sérieux, et je me permet de m’en « moquer ». Je suis très négative, mais j’essaie d’être de plus en plus positive, surtout depuis j’habite à Seattle.

« Il était une fois une jolie princesse dans son royaume… C’est beau rêvé… Alors maintenant, je dois vous parlez de ma vie, et je ne suis pas tellement en mesure de vous raconter en détail l’accouchement de la brave femme qu’est ma mère. Mais n’ayant entendu parler quelque peu, je peux vous dire déjà que ce c’est passé dans un hôpital… Super n’est-ce pas ? Surtout très original! D’accord, j’arrête… Sur une note plus sérieuse je vais vous parlez de ma vie… Déjà, je suis née dans la merveilleuse ville de New York le dix-huit octobre mille neuf cent quatre-vingt-dix. Et apparemment, enfin d’après ce que ma mère m’a dit, j’étais bien décidé a l’énervé un peu en naissant plus tôt que prévu et le jour de l’anniversaire de mariage de mes grands parents. Pour plaisanter je lui ai répondu que je tenais à leur souhaiter mes félicitations. J’avais peut-être gâché leur petite fête, mais pas leur vie, ce n’était qu’un début.
Maintenant si je devais vous parlez de mon enfance je dirais qu’elle a été… Assez bien! J’ai toujours eu ce que j’avais de besoin. L’argent, les cadeaux, la beauté mais le plus important; mes parents étaient toujours là pour moi. J’ai donc eu la chance de me faire élever comme il le faut par mes deux parents qui étaient plus qu’adorable avec la jeune enfant que j’étais. Aucune nounou folle pour s’occuper de moi, juste mes parents. Le seul petit hic fut peut-être le fait que j’étais assez timide, et je le suis encore, mais on va dire que je l’étais encore plus – et oui c’est possible apparemment -. J’étais tout le temps seule, ou pour la plupart du temps puisque j’avais quoi … Une amie ? Et je la soupçonne d’avoir été mon amie que pour ma magnifique poupée Corey. Oui bon on vit dans une société de profiteur et on peut malheureusement pas s’en défaire.
L’adolescence fut loin d’être ma meilleure période. Vous savez, on en dit toujours du mal, on dit que c’est la période rebelle… Ce ne fut pas mon cas, je vois mal comment j’aurais pu devenir rebelle. On dit également que nos années lycée sont supposément les meilleures de notre vie. Ce ne fut pas mon cas. J’étais encore seule, rejet comme disait la bande de populaire. Personne ne voulait de moi, j’ai donc développé encore plus mon côté solitaire. Alors que pendant qu’eux regardaient leurs petits nombrils, moi je vivais parfaitement bien sans amis et m’adonnait à ma passion qu’était la mode. J’avais beau être la rejet de l’école, j’adorais la mode, c’était une de mes passions. Je me voyais par contre mal faire des vêtements, mais les portés, défiler; ça j’adorais! Puis vint un jour un merveilleux jour ou ma vie changea du tout au tout. Alors que je faisais tranquillement boutique – seule bien évidemment – j’eu la chance d’être aperçue par des recruteurs pour une agence située à Seattle. J’étais très heureuse. J’en parla bien entendu à mes parents qui eut m’encouragèrent grandement a faire ma passion. Si ce n’est pas des parents parfaits, je me demande bien ce que c’est ! Et c’est donc depuis se temps que je fais partie de l’agence. J’allais souvent à Seattle pour voir les détails, faire des photoshoots et encore plein d’autre chose. Maintenant que j’étais en quelque sorte une célébrité, tout le monde au lycée me parlait. Ils savaient mon nom, il me saluait alors que je ne les connaissais pas, on m’invitait à la table des populaire, ce que je refusais bien sûr. Je déteste les profiteurs, et ce lycée aurait du s’appeler ‘profiteur land’. Je fut très heureuse qu’à mes dix-huit ans je puisse aller vivre à Seattle pouvant profiter de ma passion à fond. Je du quand même laisser mes parents derrière moi, à New York, mais je vais les voir de temps en temps. Et comme on me l’a si souvent répété il faut aller a poursuite de ses rêves.

« Elle est tellement adorable... Mais parfois j'ai tellement envie de la claquer... C'est inexpliquable! Donc je dirais sans commentaires.