Aimy S. | finish.

&. Passeport

Nom : Stewart
Prénom(s) : Aimy Zoey
Date de naissance : 14 décembre
Avatar : Vanessa Hudgens
Groupe : Mannequins

&. I am what I am

Couleur des yeux : Noisettes
Couleur des cheveux : Noirs
Nationalité : Américaine

10 lignes minimum

30 lignes minimum

vos amis et ennemis

Exemple de RP

15 lignes minimum :

Spoiler:

En même temps, ses doutes sur ces nouvelles amitiés étaient légitimes. Comment ne pas douter lorsque l’on sait que le début de leurs histoires n’avaient pas été simples ? Pas simple du tout. Que ce soit pour Kailey ou pour Jake, les débuts avec Tristan avaient été difficiles. Et au fil du temps, Tristan s’était rendu compte à quel point il avait pu être un idiot fini. Avant. Il avait bien changé aujourd’hui. Et ce changement il le devait non seulement à Satine, mais également à Jake et Kailey, sans le poids qu’ils plaçaient sur ses épaules au tout début de la relation qu’il entretenait avec Satine il n’aurait pas fait autant d’efforts. Sans leurs doutes par rapport à l’amour qu’il portait à celle qui se trouvait devant lui à ce moment précis alors qu’il ne l’avait pas vue pendant plus d’un an, jamais il n’aurait changé aussi profondément. Aujourd’hui, quand il pensait à celui qu’il avait été. Celui qui avait été surpris trois fois. Il éprouvait presque du dégoût envers lui-même. Et contrairement à l’adolescent qu’il avait été, il n’était plus fier de ses actes. Avec le temps, il s’était rendu compte qu’en se comportant de la sorte il avait du blesser un nombre incalculable de filles et ça il ne le supportait pas. Il ne le supportait plus. Il s’était comporté comme la pire des vermines, et le pire dans tout ça, c’était sûrement qu’il avait éprouvé de la fierté à l’époque. Depuis. Chaque jour de plus qu’il avait l’occasion de vivre, il faisait en sorte de blesser le moins de gens possible dans le monde, il savait pertinemment que ne blesser personne n’était pas possible, même avec tout le tact du monde, il y avait toujours des gens à qui l’on ferait du mal tôt ou tard. Qu’on le veuille ou non. Qu’on le remarque ou pas. Et ça c’était Satine qui le lui avait fait comprendre. C’était pour cette raison qu’il était particulièrement attentif à son bonheur à elle, bien plus qu’au sien. De toute façon, quand elle était heureuse, il l’était également. Et ça rien ni personne ne pourrait jamais le changer. Et il avait été heureux. Le plus heureux des hommes. Durant les trois années qu’elle avait passé à ses cotés. Et puis, ce fut comme si la vie voulait se venger de ce trop plein de bonheur et de sourires. Elle lui avait repris son amour, avait fait s’envoler sa bien-aimée sans qu’il sache où elle se trouvait. Et il avait souffert comme il n’avait jamais souffert, bien plus encore que lorsqu’il avait du quitter Londres pour venir s’installer aux Etats-Unis, oui bien plus encore. Il s’en souvenait encore aujourd’hui, de cette douleur insupportable qui s’était insinuée dans chacun de ses membres, à l’intérieur de chacune de ses veines, arrivant finalement jusqu’à son cœur, le brisant à jamais. Mais aujourd’hui, la seule personne sur Terre qui était capable de remettre son cœur en état était là, près de lui, et la seule chose qu’il était capable de faire était de lui cracher toute sa rancœur, tout son mal, en pleine figure, au lieu de prendre sur lui et de lui hurler son amour pour elle …

_ Je suis certes venu. Parce que j’étais fou amoureux de toi à l’époque. Je suis venu. Mais toi. Toi tu es restée. Pendant trois années. Alors ne me dit pas que nous n’avions pas un brin d’histoire à construire ensemble. Tous les deux.

Il avait tellement mal à cause de tous ses mots qu’ils se jetaient à la figure. Mais il encaissait. Il les laissaient entrer en lui. L’un après l’autre. Ils remontaient le long de ses veines jusqu’à atteindre son cœur. Encore et encore. Il souffrait en silence. Ne voulant pas plier devant elle. Lui montrer qu’il était toujours le Tristan qui gardait la tête haute. Même s’il savait qu’elle le connaissait trop bien pour se fier à sa simple contenance. Il allait mal. Et si son corps voulait montrer le contraire, son regard perdu l’affirmait bien plus que de simples mots. S’ils continuaient ainsi, ils allaient finir par se détruire. Définitivement. Et avec ça, ils détruiraient la moindre chance qu’ils leur restait de former à nouveau une seule personne dans le futur. Seulement, chacun d’entre eux était trop fier pour baisser sa garde, pour stopper les hostilités et se hurler tout l’amour qu’ils avaient l’un envers l’autre. Leurs mots n’étaient que mensonges. Évidemment. Jamais Tristan ne pourrait affirmer regretter de l’avoir rencontrée. Il avait été bien plus heureux ces trois ans à ses cotés qu’il avait pu l’être tout au long de sa vie. La rencontre d’une personne telle que Satine ne se regrette jamais. Quoi qu’il arrive. On ne peut regretter d’avoir fait la rencontre de son âme sœur. Mais lui pardonner d’être partie lui prendrait du temps. Même si elle décidait de lui révéler pourquoi elle s’était enfuie. A vrai dire, s’il savait, il lui en voudrait peut-être encore plus. Il aurait pu être là pour elle. L’aider à tenir le coup. Mais peu importe, il ne savait rien. Il voulait savoir certes, il insistait pour pouvoir comprendre, même si la connaissant elle ne lui révélerait le pourquoi du comment que lorsqu’elle serait prête. Et ça pouvait prendre des mois, voire des années. Tiendrait-il jusque là ? Rien n’était moins sur. Pour elle. Il tiendrait même toute sa vie. Même si son comportement voulait faire croire le contraire.

_ Nous avons tous les deux grandis. Et si tu es ici aujourd’hui ce n’est pas par hasard. Il ne t’aurais pas recommandée s’il ne te jugeait pas capable de réussir. Il est vrai que si nous sommes là ou nous sommes aujourd’hui c’est en grande partie grâce à lui, et je ne le remercierai jamais assez pour ça. Il m’a beaucoup aidé. Aussi bien dans le domaine professionnel, que privé.

Contrairement à Satine, ressasser tous ces souvenirs durant cette année ne lui avait pas fait du bien. Au contraire. Ils lui avaient juste fait comprendre à quel point il voulait être avec elle. À quel point il était fou amoureux d’elle. Et que la vie sans elle lui semblait bien fade. Le retour de Satine, il y avait songé souvent, il avait eu le temps, pendant un an, d’imaginer toutes les possibilités. Toutes les réactions possibles et imaginables qu’il pourrait avoir envers elle. La discussion qu’ils auraient au moment de leurs retrouvailles. Mais les sentiments qu’il éprouvait désormais étaient impossibles à décrire. Personne ne pouvait comprendre ce qu’il ressentait. À moins de l’avoir vécu, et encore .. Ses sentiments n’appartenaient qu’à lui. Et un peu à elle aussi. Ah ce qu’il aurait aimé lui dire combien il l’aimait toujours. Qu’en un an personne n’avait pu prendre sa place dans son cœur. Qu’il n’avait jamais cherché à la remplacer, même si de temps en temps la presse lui prêtait des aventures avec certaines demoiselles, c’était la rançon de la gloire et il l’acceptait. Simplement parce qu’il savait que son cœur n’appartenait qu’à une seule et unique personne, où qu’elle se trouve, il savait que son cœur se trouvait avec elle. Où qu’elle soit. Peu importait le lieu. Alors non, il ne la haïssait pas. Comment aurait-il seulement pu vouloir la haïr ? Il n’aurait pas pu. Pas une seule seconde. Trop amoureux, trop aveuglé peut-être. Après tout, ne dit-on pas que l’amour rend aveugle ? Une chose était sûre, s’il lui en avait voulu au moment de son départ, jamais il ne l’avait haïe. Jamais.

_ Je sais bien que mon âge n’a rien à voir. Je ne faisais que reprendre ton exemple. Tout ceci de concerne que nous. Rien d’autre. Tu es si mystérieuse que je sais que je ne connais pas tout de toi. Et je l’ai accepté pendant trois années avant que tu ne me laisses. Sans un mot. Sans une explication. Alors met toi un peu à ma place. As-tu pensé une seule fois en un an à ce que j’ai pu ressentir ce soir là en ne te voyant pas arriver ? L’inquiétude que j’ai pu ressentir d’abord. La peine immense qui est venue ensuite lorsque j’ai compris que tu étais partie et que tu ne reviendrais peut-être jamais. Tu sais Satine. J’ai vraiment voulu que toi et moi ça dure. Tu sais. Ce soir là, quand tu es partie, je m’apprêtais à faire quelque chose que je n’aurai jamais imaginé faire …

Sans un mot de plus il sortit un boîtier de sa poche, et le tendit à Satine pour qu‘elle le prenne. Ça ne devait pas se passer comme ça. Satine n’aurait jamais du apprendre l’existence de cette bague, à part lorsqu’il lui aurait fait sa demande. Mais il était à bout. Elle avait osé prétendre qu’il ne voulait pas recommencer leur histoire, qu’il ne supporterait pas de l’avoir à nouveau à ses cotés. Son sang n’avait fait qu’un tour. Et là, il n’avait plus hésité. Peut-être qu’elle comprendrait, alors ils auraient encore une chance. Et si jamais ce n’était pas le cas, c’était peut-être tout simplement parce que leur histoire était définitivement terminée.

_ Tu vois Satine, le soir où tu es partie, je comptais te demander en mariage. Parce que tu comptais pour moi, bien plus que toutes ces autres filles qu’il y a eu avant. Tu sais, je nous voyais vraiment un avenir tous les deux. Mais tu l’as brisé quand tu es partie et cette bague que tu as entre les mains aurait du se trouver aujourd’hui à l’un de tes doigts. J’aurais tellement aimé que cela soit le cas. Que tu sois aujourd’hui Satine Lancaster. Mais tu sais. Si je t’en ai voulu lors de ton départ, mes sentiments n’ont jamais changés. La signification de cette bague non plus. Au contraire. Alors s’il te plait. N’évoques plus jamais la possibilité que je ne veuille pas recommencer. Parce que tu sais très bien que je suis fou amoureux de toi. Et que c'est sûrement la seule chose qui ne changera jamais.

Et il était parti. Lui laissant ses mots en gage de son amour. De toutes les situations qu’il avait imaginée, jamais cette dernière s’était imposé à lui. Pourtant, il avait la certitude d’avoir fait le bon choix. Maintenant Kailey et Jake n’était plus les seuls à savoir quelles étaient ses intentions lors de ce fameux soir. Et un poids s’était à présent envolé, il se sentait plus léger. Même si la peine ne s’était pas effacée, elle prendrait du temps à le faire, c’était certain, mais c’était mieux que rien. C’était avec ses pensées là qu’il s’était mis en route, comptant rejoindre son appartement avant de se coucher et de finir sa nuit dans le calme. Mais apparemment. Le destin en avait décidé autrement. Et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il se trouvait face à face avec l’agresseur de Satine, frappant et se faisant frapper. Qui aurait cru que Tristan se battrait un jour pour une fille. Lui l’ancien coureur de jupons, habituellement c’était lui qui faisait souffrir les filles en les quittant. Sauf que la fille de ce soir n’était pas n’importe qu’elle fille. Elle était juste la fille. Celle à qui il avait offert son cœur. Et bien que piétiné aujourd’hui, ce dernier lui appartenait toujours. Il lui appartiendrait toujours. Et c’est avec étonnement, que Tristan vit l’agresseur de Satine s’enfuir, peut-être avait-il reconnu l’acteur et qu’il avait prit peur quand aux retombées qu’il pourrait y avoir. En tout cas, personne ne saurait jamais pourquoi il était partit. Mais ça ne gênait pas Tristan, à présent Satine était en sécurité. Et lui. Et bien, il aurait droit à quelques hématomes mais ce n’était pas bien grave. Il souffrait certes. Mais il aurait souffert encore plus si cet enfoiré était arrivé à ses fins. Il était à présent adossé à un mur, reprenant difficilement conscience. Il s’était senti si plein de haine quelques instants auparavant. Il n’aurait jamais cru être dans cet état un jour. Et c’est en voyant le visage paniqué de Satine qu’il reprit un peu plus de contenance. Il n’avait jamais aimé se montrer faible devant elle, et ce n’était sûrement pas ce soir que ça commencerait. Et pourtant, lorsque ses doigts effleurèrent son corps, il ressentit comme une décharge parcourir son corps tout entier. Et cette décharge il la connaissait. Elle était gravée dans sa mémoire. Il avait exactement ressentit la même chose quand elle avait capitulé il y a trois ans, quand pour la première fois leurs lèvres s’étaient rencontrées. Et il ferma les yeux. Comme pour imaginer que rien n’avait changé depuis le temps. Qu’ils étaient toujours Satine et Tristan. Et non plus Tristan sans Satine. Et lorsqu’elle prit sa main avant de murmurer il rouvrit ses yeux, les laissant la contempler. Il l’avait déjà vue au bar tout à l’heure. Mais il ne se lassait pas de la regarder. Elle était tellement belle. Elle avait été tellement sienne. Avant.

_ Tu vas bien ? Tu as besoin de quelque chose ?

Il n’avait rien trouvé d’autre à dire. Pourtant, il aurait pu en dire des choses. Mais tout ce qu’il pensait c’était que celle qu’il aimait plus que tout au monde se trouvait dans ses bras. Alors il la serra contre lui. Fort. Si fort qu’il eut presque l’impression de la briser. Alors il desserra doucement son étreinte, sans pour autant la lâcher. La gardant égoïstement contre lui. Elle était à lui, comme il était à elle. Il passait doucement sa main dans son dos, pour la rassurer, ponctuant ses gestes de mots de réconfort. Malgré les mots qu’il avait eu envers elle tout à l’heure, il était plus qu’heureux d’être là, avec elle. Même si les évènements ne devraient pas lui permettre de se réjouir ainsi. Mais elle lui avait tellement manqué. Ça avait été tellement long sans elle qu’il avait cru mourir. Alors il profitait de ce moment. Ignorant comment la soirée allait continuer. Ignorant si ce moment se représenterait à eux. Les minutes passèrent, et lorsque Tristan sentit que Satine commençait à se calmer, il la lacha. Pour mieux pouvoir la regarder. Il posa des yeux amoureux sur sa silhouette. Et sans qu’aucun d’entre eux ne s’y attende vraiment, malgré les évènements passés de ces dernières minutes, il se pencha vers elle et déposa un baiser au coin de ses lèvres. Étrangement il avait évité ces dernières, la peur d’être repoussé malgré tout ? Maintenant Satine avait les cartes en main. Mais Tristan savait qu’il lui avait apprit tout ce qu’elle devait savoir sur les sentiments qu’il avait toujours. Et que maintenant, c’était à elle de prendre une décision. La décision.

&. Who are you :

Pseudo : Christel
Age : 17 ans
D'où connaissez-vous Super Trend ? Zac m'a recrutée <3
Y a t-il des choses à améliorer ? /
Code de la présentation : Approuvé par Delsey Haravon Julliards'

Hi hi oui Ma Christel !!
Ouais j'ai fait du recrutement parce que j'avais plus de Aimy :'(
Euh enfin, bienvenue :)

Welcome !
Une nouvelle Aimyy !! ^^
Bon jeu parmis nous et bonne chance pour ta fiche ! =D

Welcome && Bonne continuation pour ta fiche =)

c'est parce qu'elle a l'oral de français à passer le 30
Mais je lui envoie un texto pour qu'elle oublie pas;)

Ah d'accord (: Merci d'avoir averti ^^ Dans ce cas, nous lui donnons jusqu'au 2 juillet, sans quoi elle sera avertie puis supprimée.

Merci c'est gentil je la tiens au courant :)

De rien, je comprend cette situation ^^ L'école c'est super important ^^

Merci pour l'accueil.
Et merci pour le délai, c'est vrai que j'avais oublié de prévenir que je suis en plein dans mes révisions --'
Je vais essayer de terminer assez vite :)

il te reste moins d'une journée, attention à minuit se soir ton compte sera supprimé.

Désolée du retard, forumactif buguait à fond aujourd'hui =/
Je pense avoir terminé sinon just like an angel

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