Pause Détente | Aimy

Pour la première fois depuis longtemps Zac s'était décidé à prendre un jour de repos, il avait envie d'être loin des objectifs, des mannequins et de tout ce qui peuple se vie au quotidien. Il adore son métier, de ce coté il n'y a pas de doute mais par moment tout le monde a besoin d'un temps de répis pour se ressourcer, rester seul avec soi même; du moins à la base. Vous me direz ce n'est pas très malin de prendre un jour de repos pour être loin des mannequins, des strass et des paillettes et d'aller au staruck coffee là où on a beaucoup de chance de les trouver, peut être était-ce une déformation professionnelle après tout mais le fait est qu'il se retrouva ici après sa promenade dans le parc.

Il avait passé la matinée chez lui à dormir ou au moins à rester tranquillement au fond de son lit à ne rien faire de particulier avant de finalement se décider à se lever pour prendre une douche, il resta sous l'eau pendant plusieurs minutes afin de se réveiller enfin complétement. Le plus dur fut de décider de comment s'habiller, ce n'était pas parce qu'il était derrière l'objectif qu'il devait être négligé,il considérait justement tout le contraire. Après plusieurs réflections et plusieurs il opta pour une tenue qui ressemblait à ça:

Spoiler:

Après cette séance d'essayage intensive Zac se décida enfin à sortir, il alla se promener dans le parc pendant environ une heure avant de se retrouver au Starbuck à commander un café noir. Il était maintenant installé à une table tranquillement à attendre son café, il y avait comme toujours beaucoup de monde, que ce soi au comptoir ou bien aux tables. Des personnes entraient, prenaient leur café, lui adressaient un signe de la main et sortaient du café. Il en était d'ailleurs soulagé car il n'avait pas une très grande envie de parler en ce jour là. Il avait en fait besoin de se retrouver pour réfléchir.

On lui amena enfin son café. Il commença à le boire, lorsqu'il entendit la porte du café s'ouvrir, et lorsqu'il leva pour voir qui était entré par curiosité il ne put détourner le regard, c'était Aimy Stewart une des mannequins qu'il avait déjà pris en photo mais il faut avouer qu'ils ont parfois une relation un peu plus que professionnelle mais il ne sait pas encore réellement ce que c'est. Il la regarda aller jusqu'au comptoir et lorsqu'elle tourna la tête vers lui il leva la main pour lui faire un signe instinctivement.

[Désolée c'est vraiment pas terrible mais il est déjà 1h30 chez moi je commence à être fatiguée :$]

[ han moi je trouve ça super comme poste ^^ le mien par contre laisse a désiré. ]

Contrairement, à certains, aujourd’hui Aimy n’avait pas une journée de congé, et bien non, même qu’elle devait aller essayer des vêtements pour son prochain photoshoot qui était... Demain ou après demain? Stewart l’avait oublié, mais quelqu’un se chargerait sans doute de lui rappeler. Le réveil matin de la belle brunette affichait sept heures. Parfait, cela lui donnait –habituellement- tout le temps de se préparer. Elle commença, comme d’habitude, par une bonne douche qui dura environ une heure. Elle se dirigea ensuite vers son dressing ou il y avait encore des tonnes de boîtes. Il était tellement petit qu’elle ne savait pas où mettre ce qu’il y avait en trop et l’avait donc laissé dans des boîtes qui meublaient presque tout son petit dressing. Elle avait une folle envie de mettre son t-shirt d’un de ses groupes préféré; AC/DC. Elle savait cependant qu’il n’était sûrement pas accroché, mais sûrement dans une boîte. Elle regarda dans la première, celle qui se trouvait la plus près. Il n’y avait que des pantalons. Elle en prit un, puisque évidemment il lui en fallait bien un! Puis elle regarda la deuxième, la troisième ainsi que la quatrième tout ça pour le retrouver seulement dans la cinquième boîte. Elle s’habilla tranquillement croyant que tout cela n’avait duré qu’une trentaine de minute. Mais c’est lorsqu’elle sortie de son dressing, allant instinctivement vers la cuisine pour y prendre son petit déjeuner qu’Aimy remarqua qu’il n’était pas huit heures trente mais bien neuf heure et cinq! Elle avait rendez-vous dans moins de quinze minutes et l’agence n’était pas à côté! Elle prit ses clefs vite fait et marcha très vite pour se rendre à temps, ou du moins le moins en retard possible à l’agence.

Pas de chance, lorsqu’elle sortit de chez elle, deux ou trois paparazzis attendaient devant. En temps normal ça ne lui aurait pas déranger, mais celui qui la faisait sourire n’était pas la. Elle ne faisait donc qu’avancé, sans prendre le temps de leur sourire. Normalement, elle détestait prendre le taxi pour se rendre au boulot, elle détestait les voitures à vrai dire. Mais elle était obligée cette fois. Elle savait quand même que si elle arrivait en retard elle ne serait pas mise à la porte, c’était quoi, l’une des premières fois depuis son arrivé a cette agence. Vingt petites minutes – ou grosses aux yeux d’Aimy – et elle était arrivé a l’agence. Elle s’excusa pour son retard et alla directement vers sa loge. Les vêtements qu’elle devait essayer étaient tous là. Elle les essaya tous, il devait y en avoir une dizaine. Ils lui allèrent à peu près tous, mais il fallut faire encore quelques corrections…

C’était maintenant l’après-midi lorsque Aimy sortit de l’agence. Le soleil ne c’était pas encore fait recouvrir par ses stupides nuages et heureusement. C’était sûrement la seule chose, jusqu’à maintenant, qui avait été positif dans cette journée. Miss Stewart avait bien été contente de sortir de l’agence, car pour une fois, elle n’avait pas envie d’essayer différents vêtements. Après avoir laisser des messages à différents amis, qui étaient malheureusement trop occuper pour passer leur après-midi avec Aimy, elle décida d’aller au starbucks où elle prendrait un milk-shake. Ça lui remonterait sûrement le moral et sa fera passer le temps se disait-elle. Lorsqu’elle pénétra dans le café, elle ne fit pas attention de regarder si elle connaissait quelqu’un, elle alla directement au comptoir commander ce qu’elle voulait. Ce ne fut que lorsque la serveuse alla préparer ce que Aimy avait commandé que la brunette décida de se retourner, non pas pour voir qui traînait dans le starbucks, mais pour se trouver une place. Mais quelque chose, en fait plutôt une main, attira son attention. C’était lui! Enfin plutôt c’était Zac Snow, paparazzi qui était souvent charger de prendre des photos d’elle. Son cœur s’était emballé, il battait très vite peut-être même trop vite. C’est alors qu’elle commença à sourire, un peu bêtement. Elle était très contente de le voir, elle qui était déçue qu’il ne soit pas là se matin avec les autres paparazzis. Elle lui fit signe qu’elle arrivait d’ici une minute. Elle se retourna vers le comptoir, le temps de se ressaisir, il ne fallait pas qu’elle ait l’aire cloche, et ça lui donnait l’occasion d’attendre que son milk-shake arrive avant d’aller le voir. Cela lui prit cinq minutes avant de commencer à marcher vers lui.

* Oh! Mais qu’est-ce que je pourrais bien lui dire ?! *

Elle n’y avait pas pensé, et il était trop tard pour reculer. Mais peut-être ne l’était-il pas pour partir en courant ? Non c’était idiot, il ne fallait pas faire ça. Il fallait agir en adulte. Peut-être même que la conversation s’en tiendrait a de simples salutations ? Le temps de se poser ses questions elle était déjà rendu a sa table, toujours le sourire au lèvre. Un sourire qui avait l’aire de ne pas vouloir se détacher du visage de la belle. Elle ouvrit la bouche et les seuls mots – si on peut dire ça comme ça – qui réussissent à sortir était alors;

- Sa… Sa… Salut Zac.

Bien que les journées comme celle ci faisaient du bien à Zac il sentait bien au fond de lui qu'il n'avait pas fait tout ce qu'il voulait et ce qu'il aurait aimé faire dans la journée. En général les journées de Zac ne sont pas du tout réglées de la sorte, en général le levé est programmé aux alentours de 6h du matin, il se levait et en 1 courte heure il devait avoir pris une douche, mis ses affaires sur son dos et préparait ses affaires de travail pour la journée. L'agence n'ouvrait pas avant 7h30 mais Zac était toujours en avance, la politique de son agence était que le premier à arriver choisissait son "sujet" pour la journée. On sait bien que les gens et plus particulièrement les mannequins ne sont pas des objets mais c'était son métier, c'était peut être le seul aspect de son métier qu'il aime un peu moins, considérer les gens comme des objets, comme du bétails. En tout cas, chaque matin le jeune homme arrivait beaucoup plus tôt à l'agence pour être sur d'avoir une certaine personne, ou plutot que personne d'autre que lui ne s'occupe d'elle. Le jeune homme était quelqu'un de jaloux et possessif par moment et surtout lorsqu'il appréciait une personne. C'est vrai qu'entre cette personne et lui les choses étaient compliquées mais il fallait bien un peu de complexité dans ce monde. En tout cas après avoir pris soin d'avoir la personne qu'il voulait pour la première heure de travail il allait se poster devant chez elle à attendre qu'elle sorte de la maison. Ce matin le fait de savoir que quelqu'un d'autre attendait devant chez elle lui faisait une étrange sensation. C'est pour cela qu'il avait dormi plus longtemps, histoire de ne pas y penser et de se changer les idées en faisant d'autres choses.

Sa journée n'était pas très réjouissante jusqu'à présent, elle avait été en fait d'une grande banalité et sans grand intéret. En fait le seul moment où Zac se sentait bien c'était quand il était au travail, c'était le seul moment où il était sur de vraiment tout controler entièrement. De plus, le jeune homme prenait des jours de repos uniquement lorsque son patron le forcait car il n'en prenait pas assez mais il s'ennuyait tellement durant ses journées qu'il travaillaient tout de même indépendemment.

Aujourd'hui il avait tout de même essayait de faire un effort en ne pensant pas au travail mais en LA voyant entrer dans le café il sut que le travail le rattrappait toujours. Le fait de voir entrer Aimy Stewart lui montra qu'il arriverait à concilier travail et plaisir avec elle. Lorsqu'il leva la main pour lui faire signe il ne s'en rendait presque pas compte. En moins de temps qu'il ne lui en fallu pour s'en rendre compte elle avait vu son geste et s'approchait de sa table peu de temps après. Zac savait très bien qu'ils réussirait à se parler et à s'entendre mais les gens autour n'arrèteraient pas de les regarder. Lorsqu'elle arriva à la table elle balbutia quelques salutations, c'est vrai que lui non plus n'était pas vraiment très à l'aise.

Zac : « Salut Aimy... »

Zac n'osait pas continuer la conversation, il avait déjà vu plein de personne les regarder d'un air étrange et même certaines sortirent leur portable pour les prendre en photo, c'est comme on dit le principe de l'arroseur arrosé. Mais après tout comme il savait bien que l'on ne pouvait pas empécher les gens de parler pourquoi se priver de parler soi même. Il ajouta donc par la suite sur un ton de plaisanterie:

Zac: « Désolé j'étais pas devant chez toi ce matin ^^ =) »

BACKUP

[je réponds bientôt ]

Si Aimy avait su qu’elle le rencontrerait en cette journée qui avait plutôt commencé mal, elle aurait sûrement été beaucoup plus aimable. Que se soit envers les paparazzis ou même ses collègues, la jeune demoiselle n’avait effectivement pas été très gentille aujourd’hui. C’est vrai, déjà avec les paparazzis elle n’avait même pas fait un simple petit sourire. Elle n’avait même pas osé les regardés et leur parler surtout pas. A vrai dire, elle le faisait seulement quand il était là. De toute façon, ça tout paparazzis normal s’en fou complètement puisqu’ils ne font que prendre des photos qu’il revendront ensuite à des magazines comme People, et eux diront des idioties comme ‘oh mais que ce passe-t-il avec la jeune mannequin de dix-huit ans qui est sortit de chez elle d’un aire plutôt triste’. Elle s’en foutait un peu – énormément – car les commérages des magazines à potins ne voulaient rien dire, et tant que son entourage ne lui posaient pas tout plein de question c’était parfait!

Par contre, expliquer à ses collègues pourquoi elle n’avait pas été de très bonne humeur ça serait autre chose. Comment leurs dire, sans qu’ils ne lui rient au nez, qu’elle avait été bête tout simplement parce qu’elle était tombé amoureuse d’un paparazzi qui n’avait pas été a sa porte se matin juste pour la prendre en photo ? Il n’y avait sans doute aucunes possibilités de leur dire sans qu’eux aillent capté aux magazines ou bien sans qu’ils rient d’elle. De toute façon, pour ce qui était de se trouvé une excuse, elle avait le temps, son photoshoot avait été mis à la semaine prochaine, et mise à part pour quelques arrangements elle ne devrait pas aller a l’agence.

Pour revenir au moment présent, alors qu’Aimy était toujours debout devant la table de Zac, elle remarqua un petit malaise. Il venait alors a peine de lui répondre et ni lui ni elle ne savait quoi rajouter a ses salutations. Mais lorsqu’elle se retourna, elle vu que a peu près toutes les personnes présente dans le starbuck la regardait. Qu’il y avait-il de si intéressant… A si, Aimy Zoey Stewart, jeune mannequin de dix-huit ans qui parle à un jeune homme inconnu, ou alors pour ceux qui le savaient; paparazzis. Elle détestait se côté de la célébrité ; être le centre de l’attention même quand on ne travaillait pas. Elle se retourna vers Zac une nouvelle fois. Puis enfin un des deux se décida à parler, en occurrence, Zac.

- Désolé j'étais pas devant chez toi ce matin ^^ =)

Cette phrase fit rire Aimy. C’est par ensuite qu’elle se posa des questions, soit il lisait ses pensés pour ce qui était du fait qu’elle était triste parce qu’il n’était pas là, ou alors il avait dis ça comme ça.

- Oh oui j’ai cru remarquer. Mais bon c’est pas pour autant que tu ne verras pas des photos, il y avait trois paparazzis qui ont bien voulu prendre ta place.

Elle se sentit tout a coup rougir. Premièrement parce qu’elle ne savait pas comment Zac allait prendre le fait qu’elle avait remarquer son absence. Peut-être qu’il découvrirait les sentiments de Aimy ? Aucunes chance, la brunette pouvait bien caché son jeu quelques fois. Deuxième chose, elle entendit des protables prendre des photos. Ça lui faisait bizarre, parce qu’elle était prise en photo avec lui. Elle décida de se détendre en sortant une plaisanterie.

- Pour une fois tu es de l’autre côté de l’appareil.

[ Désolé du retard en plus c'est pas top so sad

]

Même si l’on essayait de faire passer les journées aussi rapidement que l’on peut cela ne marche jamais. Les jours où on voudrait dormir le plus possible pour que le temps nous paraisse le plus long possible passe à une allure terriblement longue à partir du moment où l’on trouve la force de se lever et même si on reste simplement réveiller dans son lit c’est pareil. En tout cas lorsque son patron lui donnait des jours de congés le jeune homme était vraiment désespéré. La seule chose qui comblait sa vie c’était son travail, du moins jusqu’à présent et même maintenant qu’il y avait une nouvelle chose il ne pouvait y avoir réellement « accès » sans son travail autant dire que ses rares jours de congés il ne les appréciait pas tant que ça. Il avait apprit dans le courant de la matinée que l’un de ses concurrents direct à l’agence, celui qu’il supportait le moins devait s’occuper justement de cette personne ce matin là. Lorsqu’il était là, devant chez elle à pouvoir surveiller tout regard mal placé ou qui n’aurait pas du être là cela passait encore mais lorsqu’il n’était pas là on aurait dit que d’un coup tout le monde avait fait une sorte de conspiration contre lui pour que son adversaire ait le champs libre. Ce qu’il ne savait pas c’est que le lendemain lorsqu’il verrait les photos le lendemain elle n’aurait pas le sourire radieux qu’elle avait à chaque fois qu’il était là mais bien sur il ne saurait pas le lendemain que ce sourire c’était à lui qu’on le devait. En fait cette « relation » était basée sur des non dits, des choses qu’on garde pour soi car on a peur des répercutions prochaines. Il savait bien que même si leur deux mondes étaient très proches les choses étaient tout de même énormément différentes et on ne pouvait s’attendre à ce qu’un paparazzi s’éprenne finalement d’une mannequin qu’il a du suivre mais c’était bel et bien le cas. Si jamais je n’ai prononcé son nom c’était pour ne pas que les choses deviennent trop réelles mais les faits sont là, le beau paparazzi Zac Snow avait fini par devenir accro à la présence de la magnifique mannequin Aimy Z. Stewart dans sa vie. Chose en général totalement improbable et pourtant surement plus fréquentes qu’on ne le pense.

Finalement dans la matinée il avait trouvé à s’occuper, il avait trouvé des choses à faire pour se sortir Aimy de la tête et réussir à vider complètement cette grosse tête ronde toute remplie. Il allait à l’improvisation, il ne savait jamais ce qu’il allait faire à l’avance durant cette journée. Si il s’était écouté il serait surement allé devant chez elle pour la voir ou au moins l’apercevoir mais même si Zac pensait énormément à elle il n’était pas pour autant un voyeur loin de là. Finalement des activités plus saines comme allé faire un footing dans le parc, suivi d’une promenade tranquille et finalement d’un tour au Starbuck Coffee. Il ne savait pas qu’il tomberait justement sur elle. Il ne savait pas non plus si c’était un bien ou un mal. Pas qu’il ne voulait pas la voir mais comme on a déjà pu le faire remarquer ils ne sont pas censé s’entendre et pour les gens autour d’eux cela formait une révélation énorme.

Alors qu’il lui avait fait signe les gens avaient commencé à tourner la tête pour voir se qui se passait, le café devenait de plus en plus silencieux et tout le monde les regardaient comme des bêtes étranges qui seraient enfermées derrière les barreaux des cages d’un zoo. Des téléphones portables commençaient à sortir des poches pour les prendre en photos. Il était rare que les gens sachent qui étaient paparazzis mais certains connaissaient Zac par renommés et puis un visage comme le sien qui préfère être derrière l’objectif plutôt que devant ça ne passe pas inaperçu.

Zac: « Ha bon tu avais remarqué mon absence ??… »

Il espéra tout à coup que la jeune femme n’ait pas dit ça juste pour lui faire plaisir ou une chose dans le genre. Si elle avait vu qu’il n’était pas là peut être y avait-il une « chance » comme on dit pour que la jeune fille aussi se sente bien avec lui. La seule chose qui pouvait gâcher ces moments entre les deux jeunes étaient ces regards qui couraient sur eux.

Zac: « Oui et c’est pas des plus agréables, c’est d’ailleurs pour ça que je suis photographe et pas mannequin :P »

Une petite touche d’humour dans ce genre de situation ne faisait jamais de mal mais c’est vrai que les choses devenaient de plus en plus étranges et pesantes. Il n’y avait aucun bruit dans le café et tout de le monde essayait d’entendre ce qu’ils pouvaient bien se dire. Au bout d’une minute Zac se leva et dit à haute voix à l’assemblée:

« Oui, vous n’êtes pas fou, vous voyez bien Aimy Stewart avec un jeune homme, si ça peut vous aider je m’appelle Zac Snow, si ça ne vous aide pas tant pis. Maintenant que vous avez vos informations recommençaient votre vie normale sans vous préoccuper de nous! …. Allez le spectacle est fini on se retourner !! »[/b

Il finit par se rassoir voyant que les gens commençaient à retourner à leurs occupations, après tout cela avait eu de l’effet. Etant lui-même un paparazzi il savait ce qu’il fallait dire pour qu’il lâche l’affaire.

[il était temps que je réponde hein Rolling Eyes

désolé vraiment du retard en plus c'est vraiment pas génial. je te conseil de lire juste les paroles haha]

- Euh oui... Bah c’est que je commence à avoir l’habitude de te voir.

- Eh bah dit donc tu sais quoi leur, avait elle dit avec le sourire.

Cela faisait un bon bout de temps que Zac cachait ses sentiments à l’égard de jeune mannequin. Il n’y avait là dedans aucune honte pour lui de ressentir ce qu’il ressentait mais pour lui il était impossible et inconcevable qu’un mannequin est les sentiments qu’il avait pour elle à l’égard d’un paparazzi. Du moins c’Est-ce qu’il pensait et de plus le jeune homme avait pour politique de ne pas mélanger le plaisir et le travail même si les choses relevaient plus des sentiments que du plaisir mais bon on met les choses dans le même sac pour ne pas faire une exception parce que le jeune homme a de vrais sentiments. Même si il était vraiment fou d’elle maintenant il ne voulait ou plutôt ne pouvait pas s’accorder cet écart de conduite. En fait c’est assez difficile à comprendre car il se puni lui-même en faisait ceci car il se punissait lui-même pour quelque chose que personne ne lui avait interdit. Après tout, il n’est écrit nulle part que les paparazzis et les mannequins ne devraient pas s’apprécier même si c’est rentrer un peu dans les mœurs des gens ce n’est pas non plus une règle immuable et il aurait fallu que quelqu’un ose enfin transgresser cette « règle ». Après tout, les paparazzis comme les mannequins, tout comme les médecins ou même les hommes politiques ne sont que des humains, comme vous et moi. Ceux sont des hommes et des femmes qui ont des besoins, des envies, et qui ont des rêves comme tout le monde. En fait derrière l’étiquette que tout le monde leur colle et qui empêche certaines choses ce ne sont que des petites gens comme nous. Et ces deux là on peut me croire ils avaient besoin, envie, et rêvaient l’un de l’autre ^^. En tout cas son début de matinée de congés avait été vraiment quelque conque jusqu’à présent et même si il avait enfin vu Aimy malgré le fait qu’il ne soit pas allé devant chez elle ce matin là il était assez irrité par le fait que les personnes se mêlent de leur rencontre. C’est vrai que lui faisait tout le temps ça mais après tout c’était son métier et puis c’est toujours comme ça au fond lorsque c’est les autres on s’en fiche, cela ne nous touche pas mais lorsque ça finit par nous atteindre ce n’est plus la même chose, on devient soudain plus susceptible, plus irritable et bien sur cette situation là n’arrangeait pas les choses.

Il regardait Aimy essayant un peu de détourner son attention des autres personnes qui regardaient de partout, prenaient des photos et toutes les choses qu’il aurait normalement fait lui mais les choses n’étaient pas si facile en plus comme il était distrait il n’arrivait pas très bien à suivre tout ce que lui disait Aimy mais ce qu’il avait bien imprimé c’était qu’elle avait remarqué qu’il n’était pas là. Apparemment cette attention à son absence était simplement du au fait qu’elle s’était habituée à le voir. Serait-ce un reproche ? Il espérait que non mais il n’était pas dans sa tête et ne pouvait savoir ce qu’il en été au fond.

Zac: « Si ça te dérange je peux demander à m’occuper de quelqu’un d’autre le matin, mon patron sera déçu parce que c’est moi qui ramène les meilleures photos de toi mais bon peut être qu’un autre mannequin appréciera plus de m’avoir que toi :P »

Il essayait de prendre la conversation à la rigolade pour ne pas montrer tout ce qu’il ressentait car il fallait avouer qu’il ressentait beaucoup de chose en règle général et encore plus à cet instant précis avec la possibilité qu’elle ne ressente pas la même chose. Il se doutait bien qu’elle n’aurait pas de sentiments pour un paparazzi qui se mêlait de sa vie mais il aurait aimé pouvoir croire à cette histoire même si il savait bien la cruelle vérité, les apparences sont plus importantes que tout, surtout pour les mannequins même si elle n’est pas comme toutes les autres. Comme les jeunes sont naïfs en fin de compte. Ils sont fous l’un de l’autre et aucun d’eux n’arrivent à voir les sentiments de l’autre si ce n’est pas malheureux.

Après son coup de gueule devant les autres personnes du Starbuck il était plus détendu maintenant. Même si il savait que cela n’empêcherait surement pas les gens de parler au moins ils arrêteraient pendant un certain moment, du moins jusqu’au lendemain que des photos d’eux arrive dans le magasine « they are » il était habitué à y mettre des articles mais pas à être un article lui-même. D’ailleurs une pensée lui traversa l’esprit au moment où il pensait à ça.

Zac: « Oui c’est vrai je sais ce qu’on veut tous dans ces cas là.. D’ailleurs lorsque mon patron verra des photos de nous deux sur son bureau il voudra surement plus d’informations et que je te revois en dehors du travail et je ne veux pas te mettre mal à l’aise donc si tu veux je peux m’en aller… mettre fin à ces rumeurs. »

Même si il n’avait pas envie de la laisser il ne voulait surtout pas qu’elle devienne encore plus la proie des paparazzis à cause de lui. Même si il voulait être avec elle il voulait par-dessus tout qu’elle soit heureuse et ce n’était surement pas de cette façon qu’elle le serait.

» Pause déjeuner [FINI]
» « départ » d'Aimy
» Aimy S. | finish.
» They're my everything. Aimy's Links
» Tout ça pour ça [PV Aimy]